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Après des mois de verrouillages et de restrictions, il est sûr de dire que les préoccupations en matière d’hygiène sont au premier plan alors que les gens retournent lentement dans les espaces publics. Pour beaucoup, cela signifie également le retour aux toilettes publiques où l’hygiène a toujours été un sujet de discussion. Alors que les variants de COVID-19 continuent de représenter une menace, les propriétaires et gestionnaires d’immeubles repensent la conception des toilettes pour minimiser les risques. Cela pousse de nombreux acteurs à se demander quel est l’avenir des toilettes publiques.

Un article récent de Maclean’s explore cette question précise, s’entretenant avec la microbiologiste principale de Dyson, Salomé Gião, le partenaire gérant de la firme d’architecture et de design HCMA, Darryl Condon, et le directeur de la gestion de biens immobiliers du centre commercial Calgary CORE, Domenic Mazzochhi.

Ces experts parlent d’une gamme de tendances qu’ils s’attendent à voir dans les toilettes publiques en raison de la pandémie.

MOINS DE TOLÉRANCE POUR LE DÉSORDRE ET DES NETTOYAGES PLUS FRÉQUENTS

Maintenant plus que jamais, il y a un désir accru de voir la propreté en action et moins de tolérance pour le désordre dans les toilettes publiques. L’assurance visible d’une toilette propre est essentielle pour garantir que les gens se sentent à l’aise et en sécurité lorsqu’ils réintègrent la société.

FOCUS CONTINU SUR L’ENCOURAGEMENT D’UNE LAVAGE ET D’UN SÉCHAGE DE MAINS ADÉQUATS

L’un des moyens les plus simples et les plus efficaces de réduire la propagation des bactéries et des virus est de pratiquer une bonne hygiène des mains. Cela signifie suivre les directives établies par Santé Canada et l’OMS, qui se concentrent sur le lavage des mains avec du savon pendant au moins 20 secondes, le rinçage et le séchage en profondeur. Bien que la dernière étape du séchage de vos mains de manière hygiénique puisse parfois être négligée, elle est une partie cruciale du processus. Les mains humides peuvent transférer jusqu’à 1 000 fois plus de bactéries que les mains sèches.1

ADOPTION ACCRUE DE TECHNOLOGIES SANS CONTACT

La limitation du contact avec les surfaces dans une toilette est essentielle pour réduire la propagation des bactéries et des virus. Selon une enquête menée par Dyson, 42 % des Canadiens ont exprimé des préoccupations quant à l’utilisation des boutons physiques sur les séchoirs à main. C’est pourquoi tous les séchoirs à main Dyson Airblade sont conçus pour offrir une expérience utilisateur sans contact et hygiénique. On s’attend à ce que les technologies sans contact continuent de gagner en popularité dans les toilettes publiques, notamment les séchoirs à main, les toilettes, les éviers et les portes.

FOCUS SUR UN AIR PLUS PROPRE ET UNE MEILLEURE CIRCULATION D’AIR

Le gouvernement canadien a publié des lignes directrices sur la façon d’améliorer la qualité de l’air intérieur, la ventilation et la filtration pour aider à réduire la propagation de la COVID-19, et la microbiologiste Gião exhorte les propriétaires et gestionnaires de bâtiments à les suivre. Les sèche-mains Dyson Airblade purifient l’air de la salle de bains qui passe à travers eux pour sécher les mains à l’aide d’un filtre HEPA de qualité H13 qui piège 99,97 % des particules aussi petites que 0,3 microns, y compris les bactéries et les virus.

DES TOILETTES PLUS INCLUSIVES ET ACCESSIBLES

Les toilettes ont déjà connu des changements majeurs. Dans les espaces publics, cela inclut des toilettes toutes genres et des fonctionnalités de conception accessibles comme des hauteurs de lavabo et de sèche-mains différentes. Les toilettes inclusives peuvent être nettoyées plus fréquemment par des personnes de tous les genres, et les lavabos et les sèche-mains accessibles encouragent une meilleure hygiène des mains pour tous les visiteurs.

Pour en savoir plus sur l’avenir des salles de bains publiques, consultez cet article et pour en savoir plus sur les sèche-mains Dyson Airblade, cliquez ici.

1 – Patrick D, Findon G, et Miller T (1997). Residual moisture determines the level of touch-contact-associated bacterial transfer following hand washing. Epidemiol. Infect. 119 : 319-325.